ASSOCIU SULIDARITA

L’Associu Sulidarità s’est doté  d’un nouveau site de vente afin de soutenir au mieux les prisonniers politiques et leurs familles.

L’Associu Sulidarità vous propose un large éventail de produits « U RIBELLU », en effet, il y a sur le site plus de 200 articles à votre disposition.

Dans les catégories  » Enchère et collector »  vous trouverez des objets rarissimes des collections passées et des objets à fabrication unique.

Retrouvez tous les anciens produits ainsi que des articles du catalogue 2011, comme les Kway, Sweat et Polaire, porte-documents, bracelet brésilien etc…

Tous les bénéfices récoltés sur le site sont investis au sein de l’Associu Sulidarità qui apporte directement une aide aux prisonniers politiques ainsi qu’à leurs familles

http://www.boutiquesulidarita.org/ (Lire la suite…)

« Sa mère pourra désormais rendre visite à son fils dans des conditions moins inhumaines et moins indignes que celles qui lui ont été imposées pendant quinze années, durant lesquelles chaque visite impliquait pour un coût exorbitant un périple de plusieurs jours, pour quelques minutes d’humanité.
Au demeurant, cette décision consiste pour l’Etat français à cesser de violer au préjudice de Charles Santoni et de ses proches, la Convention européenne des Droits de l’Homme.
En effet, si les juridictions françaises persistent à considérer que le refus de transférer un détenu constitue une mesure d’ordre intérieur insusceptible de recours, la Cour européenne des Droits de l’Homme a en revanche eu l’occasion de rappeler que le droit d’exécuter sa peine non loin de ses proches est un droit fondamental, dont la violation peut être sanctionnée. (Lire la suite…)

(Maria Lanfranchi - Alta Frequenza) - Charles Santoni est arrivé hier (jeudi) au centre pénitentiaire de Borgu, en exécution d’une décision annoncée par la Chancellerie le 3 mars dernier. « Il s’agit du premier prisonnier politique corse que l’Etat français accepte de voir exécuter une peine en Corse » déclare son avocat Maître Emmanuel Mercinier, pour qui au demeurant « « cette décision consiste pour l’Etat français à cesser de violer au préjudice de Charles Santoni et de ses proches, la Convention Européenne des Droits de l’Homme ». « On se gardera donc bien de comprendre le transfèrement de Charles Santoni comme une mesure de mansuétude dont il faudrait être reconnaissant : en réalité, il est uniquement mis un terme à un comportement illégal que l’Etat fait subir à Charles Santoni et à ses proches depuis 15 ans ».

En préambule à cette conférence de presse, nous souhaitons apporter notre soutien à tous les patriotes corses qui sont jugés actuellement devant les cours d’assises spécialement composées de Paris, ou qui viennent de l’être.

Nous tenons également à dénoncer l’attitude indigne du président qui a dirigé les débats dans le procès Casolasco. Il n’a pas hésité à délivrer un mandat d’amener contre une femme pour l’obliger à témoigner contre son mari. Celle-ci, malade, avait pourtant donné un certificat médical attestant de son état de santé.

Nous avons décidé de tenir cette conférence de presse devant ce lieu symbolique qu’est la préfecture de Bastia pour répondre à l’Etat français.

Le 2 mars dernier, le ministre de la Justice et Garde des Sceaux de la France recevait à Paris les députés corses et les chefs de groupe de l’Assemblée de Corse. Lors de cette réunion, le ministre a annoncé le retour de certains prisonniers politiques.

Ces mesures que l’on attendait depuis longtemps ne sont que le début de la mise en pratique des promesses des différents ministres et chefs de gouvernement de la France depuis bientôt 10 ans. (Lire la suite…)

(Maria Lanfranchi - Alta Frequenza) - Réunion entre les élus Corses et le Garde des Sceaux au sujet du rapprochement des détenus Corses, l’Associu Sulidarità affiche une relative satisfaction.

L’association de défense des prisonniers politiques voit dans les annonces faites une porte ouverte sur d’autres rapprochements, mais aussi et surtout un formidable espoir pour les familles.

Pour autant, les choses ne doivent pas en rester là, comme nous le dit Jean Philippe Antolini, pè l’Associu Sulidarità